Maroc, sur la route de l’Atlas © Marie-Ange Ostré

Lorsque vous serez en escapade pour un long week-end à Marrakech je vous suggère d’organiser une journée dans le massif de l’Atlas, à quelques heures de route de la capitale marocaine.

En descendant du taxi au bout de cette route qui mène à nulle part je suis éberluée : mais où suis-je ?!… au Nord de l’Afghanistan ? ou au fin fond du Pakistan ?…

Les hommes en djellabah souillée d’ocre s’interpellent dans cette langue âpre qui m’est hermétique. Les ânes braient tandis qu’on ajoute un ballot pesant sur leur flanc, un chauffeur de Land Rover rongée par le sable harangue les passagers qui s’entassent à l’intérieur au mépris du nombre de sièges disponibles. Et l’un d’entre eux s’installe déjà sur le capot de la voiture !…

Tandis que certains regards d’obsidienne se tournent vers moi je ne peux m’empêcher de penser « voici ce que doivent ressentir les reporters de guerre lorsqu’ils débarquent sur un site dont ils ne maîtrisent pas grand-chose« .

Mais je ne suis pas reporter de guerre, je ne suis pas dans un village du Moyen-Orient, et aucun taliban ne vient troubler l’activité de ces hommes qui s’agitent en tous sens : je suis à Tighdouine, gros bourg marocain sur la route de l’Atlas.

Vous est-il déjà arrivé d’être quelque part et d’avoir pourtant l’impression d’être ailleurs ?… Cela m’arrive rarement, mais là, j’ai le sentiment d’être transportée dans un autre monde, une autre culture. Et rien ne me plaît davantage que d’être surprise par l’inconnu, d’être bousculée dans mes repères, et de découvrir ce que je viens chercher : l’ailleurs.

Dans ce monde d’hommes qui m’observent à la dérobée ou me bousculent sans état d’âme, j’hésite un instant à ranger mon appareil photo un peu trop voyant. Mais ma présence est déjà incongrue dans cette foule grouillante et les plus curieux sont sans doute les jeunes garçons qui me tournent autour et me regardent avec de grands yeux du haut de leur dix ou treize ans. Ils répondent à mon sourire avec un « s’pagnol ?« . Quand ils entendent « France » ils s’exclament « ah, français ! bonjour !« . Je garde l’appareil photo autour de mon cou. Je suis repérée de toutes façons et il est la justification de ma présence.

Deux, trois, quatre,… Quatre véhicules hauts sur roues sont garés dans cette rue unique qui semble être la concentration de tous les chemins. Mais ici, un seul mène au massif montagneux de l’Atlas, la piste qui part droit devant moi, celle sur laquelle trottent déjà quelques chevaux lourdement chargés et deux ânes qui doivent être en âge de croquer carottes dans un jardin de bande dessinée. Les cils drus battent mollement au-dessus des yeux sans expression, les oreilles hésitent entre le garde-à-vous et la reddition, mais les sabots soulèvent la poussière rouge sous les claquements de langue de leur propriétaire. Je suis venue pour aller à la rencontre des Berbères des montagnes, je vais y aller.

Mon chauffeur de taxi me rejoint enfin, après avoir sans doute salué la moitié de la population. Mohammed a des amis partout. Et des cousins partout. Mais quand vous voyagez beaucoup vous savez que nous sommes tous frères. Lorsqu’il s’arrête près de moi des hommes l’interpellent en arabe, ils échangent quelques phrases, je distingue « France ». J’ai ainsi confirmation – s’il m’en fallait une – que l’on se renseigne sur ma petite personne.

Mohammed demande : « Alors la gazelle, tu veux le 4×4 collectif ou un 4×4 pour toi toute seule ? C’est plus cher, mais c’est mieux pour les photos !« . En essayant de compter le nombre de passagers à bord du 4×4 qui s’apprête à prendre la route, je me dis que la gazelle a tout intérêt à s’offrir le luxe de pouvoir demander au chauffeur de s’arrêter à tout moment si je veux prendre les photos que je suis venue chercher. Les hommes sont quasiment recroquevillés les uns contre les autres dans l’habitacle du véhicule, épaule contre épaule, des colis ficelés entre les jambes. J’essaierai le 4×4 collectif un autre jour !

Le 4×4 s’arrête sur la route qui s’efface là dans ce village au bout de la vallée, dernière étape d’une route improbable…

Quelques palabres, et je fais descendre le tarif de 60 € à 40 €, grâce à mon intermédiaire zélé qui me ramènera à Marrakech plus tard dans la journée (il sait déjà que j’aurai besoin de ses services le lendemain). Pour ce prix-là je bénéficie d’un véhicule pour moi toute seule, d’un chauffeur qui ne parle pas un mot de français ni d’anglais mais qui comprend « stop !« , et d’un gamin pas encore pubère qui manie le français avec l’application d’un écolier ambitieux. Ils m’emmèneront dans la montagne, promettent de beaux paysages, et quelques rencontres. Et dans quatre heures, retour à Tighdouine pour errer dans le souk aux légumes qui se tient là chaque mercredi, avant de rentrer vers la médina de Marrakech.

L’affaire est conclue, mais avant de monter dans le Land Rover propre mais passablement essouflée, j’achète une bouteille d’eau et un pain rond tout juste sorti du four. Toujours anticiper les difficultés potentielles…

Le temps que mon nouveau chauffeur fasse le plein (j’en doute un peu) avec un (seul) jerrican, je croise quelques regards furtifs ou plus hardis dans les échoppes de chaque côté de la rue : trois hommes sirotant un thé ou un café me désignent alternativement du menton et s’interrogent sans doute sur l’objet de ma visite. Des ferronniers font jaillir des étincelles à coups de marteaux sur du fer rougeoyant, un cuistot s’affaire sur ses brochettes qui embaument l’atmosphère et auxquelles je renoncerai en apprenant plus tard qu’il me faut d’abord acheter ma viande chez le boucher d’en face qui propose un mouton et une chèvre dépecés au bout de leur crochet sans autre chaîne du froid que l’aération naturelle des battements d’ailes de mouches (voir ma photo ci-dessous)…

Et enfin mon chauffeur s’engage sur la piste qui mène vers l’Atlas.

Ismaël s’est assis d’office sur le siège passager à côté du chauffeur, et cela ne me gêne pas le moins du monde même si je me dis que ce jeune garçon qui m’annonce 16 printemps tandis qu’il doit à peine frôler les treize ans a déjà, ancrés dans une tradition plusieurs fois millénaire, les principes du mâle dominant.

Enfant « du milieu » parmi 4 frères et soeurs, il est visiblement heureux d’accompagner des touristes de temps en temps, quand l’école lui en laisse le temps, parce qu’il peut « acheter ce qu’il faut pour l’école« . Je traduis illico qu’il s’agit là d’un complément aux revenus familiaux puisque son père l’encourage à devenir guide tandis que lui vise la carrière de médecin. Son doux regard aux longs cils recourbés lui donne un air d’angelot, j’aimerais avoir le pouvoir de lui offrir le monde…

Tighdouine signifie « chemin entre les montagnes », nous grimpons déjà sur une piste caillouteuse à l’assaut des méandres montagneux des portes de l’Atlas.

Après avoir traversé des paysages d’oliviers bordés de figuiers de barbarie entre Marrakech et ce bourg carrefour de quatre cent villages berbères dans la vallée, je découvre maintenant des champs irrigués, une agriculture légumière et quelques champs de blé, le tout favorisé par un système d’irrigation mis en place par le gouvernement qui a placé le long de la rivière en contrebas un canal d’alimentation en eau courante.

Ismaël me montre les neiges éternelles du Toubkal, le mont le plus élevé du Maroc, à 4 167 mètres. Une neige qui tombe de novembre à avril m’assure-t-il, et qui ne tient pas plus de 15 ou 20 jours pendant lesquels les villageois vivent en autarcie complète, le temps que la neige fonde, et que la boue disparaisse. Puis ils repartent une fois par semaine à pied, à cheval, ou à dos d’âne, vers Tighdouine pour y vendre leurs légumes et acheter ce qui manque aux besoins de la famille.

Parmi les 400 villages berbères de la vallée, c’est devant celui de Talataste que je m’arrête pour prendre quelques photos. Un village de potiers visité par les touristes qui viennent en excursion depuis Marrakech pour y prendre un petit déjeuner berbère et acheter quelques plats à tajines, couscoussiers, et autres cendriers. Un village aux murs de terre brique d’une épaisseur de 70 ou 90 cm, avec de petites ouvertures, pour protéger du soleil aux heures les plus chaudes de l’été. Or l’été n’en finit pas de durer par ici…

Plus loin, c’est la cascade de Mirouate qu’Ismaël me propose d’aller voir. Un arrêt sur la route sèche qui soulève une poussière tellement monstrueuse qu’elle fait crisser les dents, colle aux lèvres et envahit les moindres interstices d’un appareil photo que je dois protéger au mieux.

Àla suite d’Ismaël je dégringole à toute vitesse en contrebas de la route, vers un filet d’eau qui disparaît à l’angle d’un pan de montagne. Sautillant comme un cabri de pierre en pierre, Ismaël file comme une flèche que je ne le lâche pas d’une semelle, sac au dos, en espérant que mes objectifs ne m’en voudront pas de cette course chahutée sur les pierres chauffées à blanc.

Je traverse ce qui est devenu un petit cours d’eau et Ismaël me désigne enfin avec un sourire d’enfant le trésor d’une petite cascade de trois mètres de haut. Très vite, il remonte son pantalon, ôte ses sandales de vieux cuir et trempe ses pieds dans l’eau. Quelques photos pour lui faire plaisir puisque l’endroit s’il offre une humidité bienvenue n’est pas très photogénique, puis nous repartons vers la voiture qui nous attend sous le soleil.

Ivre de liberté et d’enthousiasme je signale à mon jeune ami que je vais faire quelques centaines de mètres à pied pour profiter d’angles différents sur l’autre versant de la montagne. Ici, à crapahuter entre pierres et poussières, je me sens l’âme d’une Indiana Jones découvrant les secrets berbères de l’Atlas !

Pourtant les 45° flétrissent très vite mes velléités d’aventurière et je retrouve l’habitacle du 4×4 avant de passer à l’état liquide !

Le temps passe vite à bavarder avec le français hésitant d’Ismaël qui montre une naïveté rafraîchissante tout autant qu’un instinct commerçant qui me fait sourire. J’admire les canyons qui ont du servir à des tournages de films et nous pénétrons dans des gorges étroites qui mériteraient une exploration approfondie.

En me rafraîchissant dans la rivière qui dévale la pente avec une allégresse gazouillante, je sursaute lorsqu’une grasse grenouille fait irruption sous mon nez ! Laquelle de nous deux fut la plus surprise ?!…

Ici, au milieu de nulle part sur les premiers remparts de l’Atlas, à moins de soixante kilomètres de la ville du roi et de son chaos permanent, les oiseaux s’en donnent à coeur joie et les cigales chantent plus fort qu’à Marseille. L’air embaume le laurier-rose et les genévriers, la lumière est pure et j’aimerais savoir que je dormirais le soir sous les étoiles après avoir dévoré à belles dents les meilleures pièces d’un méchoui odorant en compagnie d’hommes enturbannés et de femmes au sourire ancestral. J’ai envie de la carte postale de l’authentique… comme une midinette.

Puis au détour d’un dernier virage, voici une grappe d’enfants aux cheveux emmêlés, à la peau caramel striée de poussière. Larmes, efforts ou sueur, la vie se lit dans les yeux d’ambre et sur les sourires aux dents encore absentes.

Le 4×4 s’arrête sur la route qui s’efface là, dans ce village au bout de la vallée, dernière étape d’une route improbable. En descendant du véhicule, je salue une femme au front ceint d’une lanière de drap : sur son dos, un ballot qui fait courber l’échine, dont j’ignorerais le contenu. Son sourire est large mais surpris, elle détaille ma tenue avec un soupçon d’incrédulité ou d’envie dans les yeux, et décide que je dois être folle : elle s’exclame en quelques phrases auxquelles répond Ismaël, puis elle hoche la tête. Mon pantalon de randonnée la laisse pensive et mon tee-shirt sans manches manque sans doute de retenue. Je me demande ce qu’elle penserait des touristes blondes en short sur la place Jam El Fna de Marrakech, cuisses pleines et ventres replets prenant le soleil sous les incantations du muezzin…

Ismaël m’entraîne sur le chemin de pierres qui grimpe à l’assaut de ce village fantôme. L’odeur musquée des chèvres qui ont laissé des traces nombreuses de leurs passages répétés me conduit entre des murs trahis par l’âge. Effondrements définitifs, éboulis las d’avoir trop supporté, je discerne ici et là quelques indices de vie antérieure à la naissance du grand-père que je viens de perdre en France, un grand-père dont le seul voyage hors de France fut pour le Maroc, en d’autres circonstances moins heureuses.

L’ombre apaisante d’une ruelle usée par des milliards de pas avant les miens laisse place soudain à la lumière crue du centre du village : là, une troupe d’enfants dépenaillés me sourit avec autant d’incrédulité que d’extase !

La mère que je reste caresse la main d’un tout petit bout de femme à peine sortie des langes, tapote l’épaule d’un petit d’homme déjà fier de sa hardiesse qui le conduit à me parler. Ils gesticulent autour de moi, excités par l’événement impromptu, et crient « bonzou’ lazan ! bonzou’ l’azan !« . Ravie, et crédule, je rectifie : « non, bonjour madame…« . En choeur, et pleins de bonne volonté, ils surenchérissent « bonzou’ madam !« . Attendrie, je serais presque fière de mes nouveaux apprentis francophones quand Ismaël casse, sans le vouloir, cet instant de grâce : « ils pensent que bonjour veut dire donner« . Et je comprends qu’ils réclament autre chose que des sourires et un mini-cours de français !

J’hésite entre déception et corruption, mais je décide de ne pas céder au besoin ou à l’envie de ces petits. Ils ont peu, mais ai-je le droit de donner ce qu’ils réclament et les faire ainsi basculer dans une relation « touriste = dollars » à tout jamais ? Cruel dilemme maintes fois ressenti dans quelques contrées du monde où l’instinct commande d’aider quand les valeurs morales protestent de leur bon droit. Mais qui a le droit ?…

Tandis que je montre aux enfants leur portrait sur l’écran de mon appareil photo, j’entends Ismaël répondre à quelques voix féminines dont je ne vois pas les propriétaires. Cachées derrière les pierres de ces murs épais, je les traque discrètement avec un objectif 300mm, ne serait-ce que pour les apercevoir.

Une femme survient enfin, portant sur la tête une planche de bois crénelée : une planche à laver le linge. Elle descend vers la rivière et me sourit largement tout en apostrophant ses enfants qui sautillent contre moi.

Enfin je capte une voix rocailleuse sur ma gauche, une voix de femme aux accents cassés par trop de chants ou trop de larmes. Mon regard glisse sur la maison aux murs de terre et je découvre un charmant tableau : derrière les volutes de fer forgé, le visage d’une fillette au bonnet blanc contemple l’étrangère que je suis sous la surveillance d’une jeune adolescente curieuse qui se dissimule mieux que sa soeur aux yeux avides.

Ismaël me désigne une autre fenêtre très haute à l’angle de cette maison : une femme au visage taillé à coups de burin dans le cuir souple d’une peau qui fut élastique, une femme coiffée de rouge et au sourire bienveillant m’invite à prendre le thé chez elle…

C’est la rencontre que je cherche sur tous les continents, le contact avec la réalité de ce monde ailleurs que je vais chercher encore et encore dans toutes mes pérégrinations. La vie différente de la mienne, de la nôtre, qui me fait partir chaque fois dans une direction autre et qui m’enrichit de mille façons, en apprenant toujours plus.

Une minute plus tard je salue cette femme berbère qui m’invite d’un geste à entrer chez elle.

C’est d’abord une pièce carrée meublée d’une échelle de bois brut, menant au toit terrasse par une ouverture qui perce un puits de lumière abrupte. Ismaël explique d’où je viens, ce que je fais : je raconte le Maroc aux Français. Elle remercie avec un sourire presque édenté sous des lèvres fardées de rouge qu’elle a du appliquer le matin, un rouge de la nuance du foulard qu’elle porte sur la tête. La coquetterie féminine est universelle.

Nous bataillons gentiment entre remerciements et formules de bienvenue avant qu’elle n’envoie la jeune Hadijah puiser de l’eau dans la rivière pour faire le thé. Elle me fait entrer dans sa chambre et je note le matelas peu épais étendu sur le sol d’une pièce dont la décoration essentielle est une armoire buffet qui contient tous ses effets. Puis je la suis dans sa cuisine et je demande l’autorisation de prendre quelques photos.

Heureuse, elle s’affaire déjà à ranimer le feu dans l’âtre qui occupe un coin de la pièce. Les murs sont noirs de suie et la lumière filtre à peine par les carreaux colorés d’une fenêtre par laquelle elle me surveillait tout à l’heure. Elle chasse l’essaim d’enfants qui tourbillonnent encore autour de moi et nous nous asseyons sur un petit tapis qu’elle étend sur la terre battue. Je lui souris et tente de lire sur ce visage les lignes d’une vie qui n’a plus d’âge, autre que celui du poids de l’expérience.

Parfum de cendre et de viande fumée, rayons de soleil tranchants comme des poignards dans la poussière ambiante à travers fissures et crevasses, langue gutturale adoucie par le miel des gâteaux et le sucre du thé brûlant, j’absorbe tout, jusqu’au moindre détail. Pour graver chaque seconde et chaque sensation dans les méandres de ma mémoire. Pour m’en réchauffer un soir d’hiver lorsque le ciel se fera trop morose sur Paris et que je n’aurais pour tout réconfort que le souvenir de ces instants volés à une existence nomade qui me donne tant.

Je ne sais pas encore que trois heures plus tard je dévorerai un tajine d’agneau fondant et parfumé, « cuit sur le charbon et pas sur le Butagaz, plus délicieux ! » pour moins de 2 €.

Je ne sais pas encore que je somnolerai sur le trajet du retour dans le taxi qui me ramènera de Tighdouine jusqu’à Marrakech, me laissant à l’orée du souk de la médina, à me demander si je n’ai pas rêvé cette journée exceptionnelle qui m’a été offerte pendant cette première escapade au Maroc.

Si vous y allez, faites comme moi, sortez de la ville pour vous aventurer sur la route de Ouarzazate, aux portes du désert saharien. Admirez les montagnes et les gorges de l’Atlas. Entrez dans les villages et faites connaissance avec le mode de vie berbère. Souriez. Et négociez. Cela en vaut la peine…

Envie d’en apprendre davantage sur mes voyages au Maroc ? Voici quelques pistes à explorer :

Cet article a été publié une première fois en juin 2009 sur mon blog de voyages Un Monde Ailleurs (2004-2014), blog qui n’est plus en ligne à ce jour. Les articles re-publiés ici sont tous rassemblés sous le mot-clé « Un Monde Ailleurs ». J’ai ajouté davantage de photos à ces articles en les re-publiant mais malheureusement il a été impossible de réintégrer les commentaires liés à ces articles, seul le nombre de commentaires est resté indiqué.

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