Sony Vaio en panne Il fait 31°, les Marseillaises sont court vêtues, les Ray-Ban sont de sortie et les cigales s’en donnent à cœur joie partout dans les jardins et les calanques. Marseille est enfin passée à l’heure d’été et on peut affirmer sans se tromper que les Phocéens se sentent revivre. Curieux de penser qu’il fait plus chaud ici qu’à l’île Maurice où j’étais il y a encore 3 jours, mais je suis tout de même persuadée que la Méditerranée n’atteint pas les 23° de l’océan indien !

Ce sera un article sans photo aujourd’hui. Non que je boude, ou que je paresse au soleil. Et je voulais publier un nouvel article ce matin, d’autant qu’il me reste encore des anecdotes à raconter à propos de l’Irlande, et tellement à dire sur Maurice… Mais si vous avez suivi le fil des commentaires sur mon article précédent, vous savez que mon PC Sony vient de me lâcher lâchement (oui, j’ose la juxtaposition !) ; l’Homme a tenté de ressusciter le disque dur pendant une partie de la nuit, en vain.

Sony est-il un mauvais choix en matière d’ordinateur portable ? Je ne sais pas. Le précédent, un Samsung, a résisté 5 ans à ma force de frappe, à mon séjour de trois ans dans les îles et à de nombreux voyages partout dans le monde. Le Sony n’aura tenu le coup que 3 ans !… D’accord il en a vu de belles, sous toutes les températures, des Tonga au Groenland, du Malawi à l’Australie, en pirogue, en bateaux de toutes tailles et confort, dans des avions privés ou sur de grosses compagnies indélicates. Mais en 3 ans il m’avait déjà lâchée pour un séjour de 3 mois dans l’antre du service après-vente de la Fnac où des mains anonymes lui avaient redonné un petit air de jeunesse en changeant le clavier (usé ! touches creusées et lettres effacées !…), l’écran (des tâches dues à des embruns sur le bateau en Indonésie ?…) et le disque dur (qui avait rendu l’âme subitement au bout d’un an). Je pensais donc allègrement avoir de ce fait allongé sa durée de vie.

Que nenni…

Le fourbe me fait faux-bond une seconde fois en moins de trois ans. Il git ventre à l’air sur mon bureau, me laissant dans le désarroi le plus complet alors que j’ai besoin de bits, de puissance et de vitesse pour rédiger, corriger, publier, éditer, le plus vite possible !

J’ai horreur de me sentir dépendante de la technologie. Et je n’aime pas devoir le reconnaître. Mais ma vie est ainsi faite que pour communiquer avec mon fils à Sydney ou avec mes amis un peu partout ailleurs, pour travailler autant que pour me distraire, j’ai besoin d’un clavier et d’une connexion. Je pourrais me passer d’Internet quelques jours (en dehors du travail), mais mon ordi me suis partout comme mon ombre et j’ai besoin d’avoir une confiance absolue en la machine qui se fait le relais de mon humeur, de mes envies, de mon insatiable curiosité.

Alors ce matin je hais Sony !

Et l’idée de confier mes heures de travail et ma communication à un matériel rendu célèbre par sa petite pomme commence à me travailler sérieusement. Marre des bugs en tous genres, des logiciels qui ne s’installent qu’en peinant, de tout ce qui n’est pas « plug & play ». Au XXième siècle j’ai envie, et besoin, de perdre moins de temps à batailler avec ce qui devrait couler de source et je voudrais pouvoir me concentrer davantage sur l’essentiel : créer sans souci lié à la technologie. D’autant que dans le monde de la presse, de l’édition et de la photo, tous nous disent « quoi… vous travaillez sur PC ?!…« .

Alors… Mac or not Mac ?… That is the question du jour !

Y a-t-il parmi vous de fervents adeptes de Mac ?

A l’instant présent je suis littéralement démoralisée, et les cigales n’y sont pour rien…

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