En Indonésie, pendant les trois semaines de tournage, nous avons découvert différentes îles qui nous ont réellement réservé un accueil chaleureux. Mais étant donné les conditions de tournage et les conditions d’hébergement (bateaux, pensions de familles dans les villages de pêcheurs ou camp sauvage à Bornéo), nous n’avons pas eu la chance de goûter à des spécialités particulièrement savoureuses. La seule expérience qui me restera en mémoire sera une fricassée de dauphin (pardon aux plongeurs…) qui nous a été offerte comme un mets de qualité par une villageoise sur l’île de Lomblen (photo). Nous n’avions pas d’autre possibilité que de goûter, en se persuadant qu’il s’agit bel et bien de poisson, et la curiosité aidant : sans aucun a priori négatif, je dois tout de même avouer que je n’ai pas aimé cette chair légèrement caoutchouteuse, sans grande saveur, noircie par les épices. Néanmoins notre régisseur nous a garantit que la recette n’était pas la bonne puisqu’il en avait mangé plusieurs fois ailleurs, et de bien meilleure facture. Je ne suis pas certaine que nous récidiverons si nous avons le choix…
Tout le temps du tournage nous fûmes alimentés du traditionnel nasi goreng, excellent par ailleurs lorsqu’il est bien préparé : du riz frit avec quelques légumes et du poulet en lamelles. Pour ceux qui n’en auront pas assez après quelques semaines, ils pourront acheter dans n’importe quelle épicerie, des petits sachets d’épices (photo) qui vous garantissent la même saveur dans votre cuisine. Promis, j’ai testé !
La variante du nasi goreng est le mi goreng, même plat, mêmes épices, mêmes composants, mais avec des nouilles frites à la place du riz. J’adore ! Tellement que je ne pensais pas m’en lasser. Mais voyez-vous, 3 semaines à ce régime, matin, midi et soir (oui, au petit déjeuner aussi), n’importe qui saturerait !
Sur Bornéo, j’ai eu l’occasion de goûter un jus de fruit très original : le jus d’avocat. Imaginez un guacamole moins épais, sans oignon et sans piment, et sucré… Pas forcément dérangeant, suave et… très texturé.
Après un premier déjeuner constitué d’une soupe aux nouilles parsemée d’oignons séchés (photo) et de pastèque fraîche, nous fûmes choyés : dans une expédition, même avec une forte cohésion d’équipe, le moral des troupes est souvent lié à ce qu’il ingurgite à chaque repas… Même les armées le savent. Notre régisseur avait engagé pour la semaine un charmant et discret cuisinier, issu d’une grande famille balinaise. Avec les moyens du bord, il a réussi à nous offrir des frites cuites à l’huile dans un immense wok sur un feu de bois, au cœur de la forêt de Bornéo !
La gastronomie indonésienne, si j’en crois les livres de cuisine que j’ai acheté sur place (je suis accro aux beaux livres de cuisine !), est riche et variée. Nous n’avons pas eu l’occasion d’y goûter mais la cuisine simple et traditionnelle nous a malgré tout maintenus en bonne santé et en bonne condition physique. Et, je vous rassure, à aucun moment nous n’avons eu faim en Indonésie. Néanmoins, peut-être faut-il ouvrir un chapitre particulier relatif à la cuisine balinaise ?… Allez, je l’écris !
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
La variante du nasi goreng est le mi goreng, même plat, mêmes épices, mêmes composants, mais avec des nouilles frites à la place du riz. J’adore ! Tellement que je ne pensais pas m’en lasser. Mais voyez-vous, 3 semaines à ce régime, matin, midi et soir (oui, au petit déjeuner aussi), n’importe qui saturerait !
Sur Bornéo, j’ai eu l’occasion de goûter un jus de fruit très original : le jus d’avocat. Imaginez un guacamole moins épais, sans oignon et sans piment, et sucré… Pas forcément dérangeant, suave et… très texturé.
Après un premier déjeuner constitué d’une soupe aux nouilles parsemée d’oignons séchés (photo) et de pastèque fraîche, nous fûmes choyés : dans une expédition, même avec une forte cohésion d’équipe, le moral des troupes est souvent lié à ce qu’il ingurgite à chaque repas… Même les armées le savent. Notre régisseur avait engagé pour la semaine un charmant et discret cuisinier, issu d’une grande famille balinaise. Avec les moyens du bord, il a réussi à nous offrir des frites cuites à l’huile dans un immense wok sur un feu de bois, au cœur de la forêt de Bornéo !
La gastronomie indonésienne, si j’en crois les livres de cuisine que j’ai acheté sur place (je suis accro aux beaux livres de cuisine !), est riche et variée. Nous n’avons pas eu l’occasion d’y goûter mais la cuisine simple et traditionnelle nous a malgré tout maintenus en bonne santé et en bonne condition physique. Et, je vous rassure, à aucun moment nous n’avons eu faim en Indonésie. Néanmoins, peut-être faut-il ouvrir un chapitre particulier relatif à la cuisine balinaise ?… Allez, je l’écris !
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
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