Sainte-Lucie sulfureuse, savoureuse, charmeuse,… L’île se dévoile lentement au gré de ce séjour très court qui me sert plutôt de repérage. A peine arrivée, je savais déjà qu’il me faudrait revenir : le cristal de la mer des Caraïbes recèle quelques trésors que je n’ai pas le temps d’explorer cette fois, mais un projet naissant me laisse espérer une exploration approfondie de ces eaux que l’on me promet riches.
Alors je vole quelques moments, au gré de rencontres multiples et au fil d’un voyage esquisse. Il y a deux jours, cette escale dans un hôtel époustouflant qui m’a transformée en James Bond girl pour quelques heures. Hier soir un dîner gastronomique concocté par un chef mexicain qui nourrit son inspiration de produits locaux et d’une tradition sud-américaine transmise par sa grand-mère (rappelons que les Indiens Caribes sont arrivés ici il y a bien longtemps depuis le Venezuela). Ce matin, bref retour vers le XVIIIème siècle pour égrener fèves de cacao et gousses de tamarin au rythme d’une plantation toujours en activité. Puis une après-midi en mer pour saluer les poissons tropicaux en se glissant sous la caresse d’une mer de soie…
Ce soir le soleil n’en finit pas de mourir à l’horizon et le sable exhale quelques dernières bouffées de chaleur. Derrière les deux pitons qui veillent sur le paysage alentours, les fumées sulfureuses du volcan qui n’a pas bronché depuis deux cent ans s’élèvent en volutes persistantes : du fond de ses entrailles la Soufrière rappelle qu’elle est mère de toutes les menaces.
Mais à l’heure où je m’apprête à goûter à d’autres saveurs tandis que les étoiles parsèment le ciel d’éclats de vif-argent, je tenais à vous livrer immédiatement ces quelques premières images.
Alors je vole quelques moments, au gré de rencontres multiples et au fil d’un voyage esquisse. Il y a deux jours, cette escale dans un hôtel époustouflant qui m’a transformée en James Bond girl pour quelques heures. Hier soir un dîner gastronomique concocté par un chef mexicain qui nourrit son inspiration de produits locaux et d’une tradition sud-américaine transmise par sa grand-mère (rappelons que les Indiens Caribes sont arrivés ici il y a bien longtemps depuis le Venezuela). Ce matin, bref retour vers le XVIIIème siècle pour égrener fèves de cacao et gousses de tamarin au rythme d’une plantation toujours en activité. Puis une après-midi en mer pour saluer les poissons tropicaux en se glissant sous la caresse d’une mer de soie…
Ce soir le soleil n’en finit pas de mourir à l’horizon et le sable exhale quelques dernières bouffées de chaleur. Derrière les deux pitons qui veillent sur le paysage alentours, les fumées sulfureuses du volcan qui n’a pas bronché depuis deux cent ans s’élèvent en volutes persistantes : du fond de ses entrailles la Soufrière rappelle qu’elle est mère de toutes les menaces.
Mais à l’heure où je m’apprête à goûter à d’autres saveurs tandis que les étoiles parsèment le ciel d’éclats de vif-argent, je tenais à vous livrer immédiatement ces quelques premières images.
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