A l’heure où vous me lirez j’aurai déjà quitté Andros après un court séjour de 3 jours. Je ne peux croire qu’il ne se soit écoulé que trois jours depuis mon arrivée ici tant ce séjour aura été à la fois riche et détendu. J’ai écouté, observé, beaucoup noté. Et photographié.
Andros est un concentré nature qui rassemble environ 8 500 habitants (les chiffres officiels flirtent entre 10 000 et 8 000, impossible d’en savoir davantage). Sur une île qui fournit au reste de l’archipel 90 % de ses ressources en eau douce au reste de l’archipel et qui vit pourtant essentiellement de la pêche, du tourisme et de l’agriculture. La pêche dépendant beaucoup du tourisme.
Andros chérit sa forêt de pins, véritables pompes naturelles qui retiennent l’eau douce, favorisent son évaporation, créent des dépressions, des pluies qui réalimentent l’immense réseau souterrain de galeries noyées.
Elle soigne aussi ses trous bleus, comme autant de réservoirs insondables (Cousteau y a laissé l’une de ses caméras). Des trous bleus mystérieux, sources de tant de légendes.
Et puis il reste encore une poignée de Séminoles, Indiens venus de Floride il y a bien longtemps. A peine une centaine vivent encore dans les villages reculés de l’Ouest. Une minorité.
Je vous raconterai tout des festivités liées au crustacé le plus populaire ici, le crabe ! Le Festival du Crabe se tient le second week-end de juin, chaque année. Pourquoi juin ? Parce que cela correspond aux premières fortes pluies de l’année, que les crabes sortent alors de leurs trous par tonnes, poussées par les eaux qui remontent du sous-sol, et ils envahissent les routes sur lesquelles les habitants se précipitent pour les cueillir. Ensuite il faut les cuisiner, et les mamas d’ici détiennent un certain nombre de recettes dont j’ai réussi à obtenir l’une d’entre elles, une recette de cuisine typiquement bahaméenne à vous en lécher les doigts !
Je vous montrerai les différents visages d’Andros, sa flore, sa faune et notamment ses oiseaux. Avez-vous déjà vu une dinde volante ?… (un oiseau vraiment laid qu’on surnomme « Air Force » ici). Ou un héron ébouriffé ?…
Mais pour l’instant je suis en escale de nouveau sur Nassau avant de me rendre demain sur l’une des îles les moins peuplées des Bahamas, une île qui n’a jamais vu le moindre journaliste français, la moindre équipe de télévision. Un scoop pour mon blog Un Monde Ailleurs !
Un scoop pour vous…
Je vous raconterai dès mon arrivée ! Si je trouve une connexion…
A l’heure où vous me lirez j’aurai déjà quitté Andros après un court séjour de 3 jours. Je ne peux croire qu’il ne se soit écoulé que trois jours depuis mon arrivée ici tant ce séjour aura été à la fois riche et détendu. J’ai écouté, observé, beaucoup noté. Et photographié.
Andros est un concentré nature qui rassemble environ 8 500 habitants (les chiffres officiels flirtent entre 10 000 et 8 000, impossible d’en savoir davantage). Sur une île qui fournit au reste de l’archipel 90 % de ses ressources en eau douce au reste de l’archipel et qui vit pourtant essentiellement de la pêche, du tourisme et de l’agriculture. La pêche dépendant beaucoup du tourisme.
Andros chérit sa forêt de pins, véritables pompes naturelles qui retiennent l’eau douce, favorisent son évaporation, créent des dépressions, des pluies qui réalimentent l’immense réseau souterrain de galeries noyées.
Elle soigne aussi ses trous bleus, comme autant de réservoirs insondables (Cousteau y a laissé l’une de ses caméras). Des trous bleus mystérieux, sources de tant de légendes.
Et puis il reste encore une poignée de Séminoles, Indiens venus de Floride il y a bien longtemps. A peine une centaine vivent encore dans les villages reculés de l’Ouest. Une minorité.
Je vous raconterai tout des festivités liées au crustacé le plus populaire ici, le crabe ! Le Festival du Crabe se tient le second week-end de juin, chaque année. Pourquoi juin ? Parce que cela correspond aux premières fortes pluies de l’année, que les crabes sortent alors de leurs trous par tonnes, poussées par les eaux qui remontent du sous-sol, et ils envahissent les routes sur lesquelles les habitants se précipitent pour les cueillir. Ensuite il faut les cuisiner, et les mamas d’ici détiennent un certain nombre de recettes dont j’ai réussi à obtenir l’une d’entre elles, une recette de cuisine typiquement bahaméenne à vous en lécher les doigts !
Je vous montrerai les différents visages d’Andros, sa flore, sa faune et notamment ses oiseaux. Avez-vous déjà vu une dinde volante ?… (un oiseau vraiment laid qu’on surnomme « Air Force » ici). Ou un héron ébouriffé ?…
Mais pour l’instant je suis en escale de nouveau sur Nassau avant de me rendre demain sur l’une des îles les moins peuplées des Bahamas, une île qui n’a jamais vu le moindre journaliste français, la moindre équipe de télévision. Un scoop pour mon blog Un Monde Ailleurs !
Un scoop pour vous…
Je vous raconterai dès mon arrivée ! Si je trouve une connexion…
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