Il y a des voyages dont on revient reposé.e, d’autres qui vous laissent un goût d’inachevé. Le Chili demande à être exploré, encore et encore…
Après mon voyage fabuleux au Pérou il y a 18 mois, après ma re-découverte de l’Islande en mai dernier, et après mon road-trip sur la moitié Est de l’Espagne en septembre dernier j’avais envie de repartir en Amérique du Sud pour parcourir un pays dont le Sud m’attire comme un aimant depuis plus de 30 ans. J’ai donc commencé début 2023 mon repérage pour un voyage au Chili.
Je rêvais de l’île de Pâques, des Andes, des volcans. J’avais envie de déambuler dans les rues de Valparaiso, de photographier les pics de Torres del Paine, de ressentir la fureur des vents du Cap Horn comme tant de marins avant moi.
Quand on rêve du Chili on fantasme un peu aussi sur l’Argentine avec sa Patagonie, la Terre de Feu et Ushuaia.
Néanmoins le Chili ne se laisse pas apprivoiser aussi aisément, j’ai vite compris qu’il allait falloir procéder par élimination pour un voyage d’une durée classique de 3 semaines ! Difficile de choisir…
Grâce au numérique on ne se restreint pas sur le nombre de photos au cours d’un tel voyage…
D’autant que la fameuse « meilleure période » pour un voyage au Chili n’est pas la même du Nord au Sud. Il me fallait donc choisir entre la pluie et les vents forts sur l’île de Pâques pour du beau temps du côté d’Ushuaia, ou l’inverse.
Je me suis fait une raison : il fallait scinder cette découverte du Chili en deux phases. Cette année je suis donc partie pour 2 belles semaines au Chili à la mi-octobre, en privilégiant le Nord de ce pays qui s’étend le long de 6 000km de côte ouverte sur l’océan Pacifique.
Je repartirai une autre fois vers le Sud, en mêlant Chili et Argentine pour une autre découverte ciblée, en janvier (meilleure saison pour se rendre au Cap Horn). En prenant le temps.
Vous êtes sur un blog de voyages, avec priorité à la photo : n’oubliez pas de cliquer sur chacune des photos ci-dessous pour l’afficher en grand format sur votre écran. C’est aussi la raison pour laquelle ce blog est conçu pour un affichage de préférence sur ordinateur ou sur tablette. Profitez !
J’ai dessiné la carte de ce voyage selon trois axes :
– en tête de liste de mes envies l’île de Pâques était un incontournable, je voulais admirer ces moais sous le soleil et comprendre l’histoire de cette civilisation en prenant le temps de parcourir l’île mystérieuse.
– au départ de l’Europe, le vol direct le plus long affrété par Air France (avant la guerre en Ukraine qui impose aux compagnies aériennes des contournements infernaux) impose d’atterrir à Santiago et nulle part ailleurs après 13h30 de vol (à l’aller, près de 15h au retour). Si la capitale chilienne ne présente pas un intérêt fondamental elle offre la possibilité de se rendre en voiture jusqu’à Valparaiso (1h20 pour 120km), en faisant une halte dans l’un des nombreux vignobles chiliens.
– et puis je suis tombée amoureuse des Andes pendant mon voyage au Pérou en mai 2022. Je tenais à en voir davantage, et j’étais attirée depuis dix ans par le désert le plus aride au monde (hors zones polaires). Atacama est l’une des régions les plus inhospitalières sur notre vaste planète, située à une altitude oscillant entre 2400m pour son point le plus bas jusqu’à 4000m avant d’accéder à l’altiplano andin qui m’a menée jusqu’à 4 830m (au-dessus du Mont-Blanc qui en 2023 mesure 4 805m). Je voulais connaître ce désert peu fréquenté par les Européens, admirer les sommets des Andes, les volcans assoupis ou non, les lagunes d’altitude, les flamants roses,…
La meilleure saison pour découvrir le Nord du Chili ?
Partir le 24 octobre en voyage au Chili était-ce une bonne idée ? Oui, définitivement. J’ai profité d’un temps superbe pendant tout mon voyage, île de Pâques inclus. Quelques nuages le premier jour à Santiago, et un ciel gris en arrivant vers 13h sur l’île de Pâques. Mais tout cela s’est éclairci en moins de deux heures, mes photos en attestent.
Mon guide sur place m’a certifié qu’il vaut mieux éviter février et mars sur l’île de Pâques : trop de pluie, trop de vents. Il est arrivé que le vol entre Santiago et Rapa Nui fasse demi-tour vers Santiago si la force du vent rend l’atterrissage dangereux.
Mon guide à Atacama a recommandé de découvrir le désert à deux reprises : en octobre / novembre lorsque le ciel est limpide, qu’il ne fait pas trop froid (en soirée ou en altitude), pour des photos splendides. Et après les toutes premières neiges sur les sommets, vers juin ou juillet… quand la neige tombe ! Ce qui ne se produit pas tous les ans. Juin et juillet sont les mois les plus pluvieux, sachant que ces pluies sont malgré tout peu fréquentes même si elles peuvent être intenses. Elles remplissent alors les lagunes, pour le bonheur des oiseaux et des ornithologues amateurs ; par contre ces pluies peuvent aussi fermer des routes ou des pistes.
De retour depuis une dizaine de jours je ne sais par quoi commencer pour raconter ce voyage au Chili. Il me faudra encore quelques semaines pour décanter mes impressions, pour faire le tri entre l’anecdote et l’information, pour mettre en mots tant de ressentis sur place.
Le lever de soleil sur les moais de l’île de Pâques, le coucher de soleil sur les Salt Range Mountains dans le désert d’Atacama, la fabuleuse Vallée de la Lune, le street-art dans les ruelles de Valparaiso,…
Photographier le Chili c’est photographier la culture, l’histoire, la faune, mais aussi les textures, les lumières, les volumes. Une destination idéale pour les photographes, tant de paysages s’offrent à vous…
J’ai rapporté 5 164 photos :
– 2 094 faites avec mon Canon G3X (qui date un peu mais son zoom reste excellent et c’est la raison première pour laquelle je continue à l’emmener dans tous mes voyages au long cours) ;
– 3 071 photos faites avec mon iPhone 13 Pro Max (j’aime son rendu des couleurs, sa netteté, et son grand angle). Je viens de passer à la version 15 Pro Max, l’avenir me dira s’il est aussi performant que le 13 Pro Max.
Grâce au numérique on ne se restreint pas sur le nombre de photos au cours d’un tel voyage. Et quelle lumière ! En altitude la lumière est si pure que vous n’avez besoin d’aucun filtre polarisant pour saturer le bleu du ciel, je vous le garantis. Et nul besoin de retouches au retour… J’ai vécu la même chose pendant mon séjour au Groënland, sous des lumières pures, sans pollution aucune.
Bien sûr il y a pas mal de doublons (je n’oublie jamais que je pourrais perdre en cours de route l’un ou l’autre de ces appareils, et j’utilise aussi l’iPhone pour partager en direct de mon voyage sur les réseaux sociaux et pour prendre des photos « Post-It » qui fixent mes souvenirs sur des détails afin d’enrichir mes récits plus tard).
Malgré tout aujourd’hui j’ai un mal fou à faire une sélection pour concevoir un livre de photos dédié à ce voyage au Chili. Et pour vous montrer l’essentiel.
Cet article aujourd’hui n’est donc qu’une introduction à mon voyage au Chili, une ébauche qui me permet de bâtir un plan pour ce récit, de noter quelques idées d’articles sur mon logiciel d’écriture, pour donner une épine dorsale aux articles à venir.
Je vous recommande de vous abonner à ce blog grâce au formulaire ci-dessus, en quelques clics, afin de ne pas passer à côté des prochains articles dédiés au Chili (mais aussi à l’Islande, à l’Inde dont je n’ai encore jamais parlé, au Bhoutan sur lequel j’ai encore beaucoup à raconter, etc…). Je devrais aussi raconter mes quelques jours à Saint-Petersburg en Russie, pourtant même si j’ai très rarement évoqué des sujets politiques sur ce blog l’actualité ne m’incite guère à faire la promotion de ce pays en ce moment. Qu’en pensez-vous ?
Je sais que nombre d’entre vous ont découvert le Sud du Chili, n’hésitez pas à me laisser vos recommandations dans la partie Commentaires ci-dessous. Elles me permettront d’enrichir mon repérage pour mon prochain voyage au Chili !
À très bientôt…
Envie d’en apprendre davantage sur mon voyage au Chili ? Voici quelques pistes à explorer :
Au Chili j’ai été accompagnée par les guides locaux de l’agence : Tours by Locals
Rédiger et illustrer un site web ou un blog représente des heures, des années de travail. Prélever sur Internet sans autorisation préalable des photos ou des textes (tout ou partie) est une violation des droits d’auteur. Des outils permettent de dénicher facilement les « emprunteurs » et de les poursuivre (dans le pire des cas), ce sont d’ailleurs souvent les lecteurs qui nous alertent. Si vous souhaitez utiliser un extrait d’article ou une photo n’hésitez pas à demander depuis la page Contact sur ce site. Merci pour votre compréhension.
Voyage non sponsorisé : les recommandations que je fais (hôtel, restaurants, prestataires) sont spontanées et sincères (vous le découvrirez en lisant). D’ailleurs même en voyage sponsorisé j’ai toujours appliqué ma règle d’auteure sur ce blog : j’aime, j’en parle. Je n’aime pas, je n’en parle pas. Mes sponsors le savent et l’acceptent en toute bonne foi. Si vous souhaitez davantage de détails sur ces prestataires n’hésitez pas à poser votre question dans l’espace Commentaires au bas de cette page. Les tarifs étant vite obsolètes je vous invite à cliquer sur les liens placés dans les articles pour accéder aux sites web afférents, vous y trouverez sans doute aussi des offres spéciales et ponctuelles.
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
Il y a des voyages dont on revient reposé.e, d’autres qui vous laissent un goût d’inachevé. Le Chili demande à être exploré, encore et encore…
Après mon voyage fabuleux au Pérou il y a 18 mois, après ma re-découverte de l’Islande en mai dernier, et après mon road-trip sur la moitié Est de l’Espagne en septembre dernier j’avais envie de repartir en Amérique du Sud pour parcourir un pays dont le Sud m’attire comme un aimant depuis plus de 30 ans. J’ai donc commencé début 2023 mon repérage pour un voyage au Chili.
Je rêvais de l’île de Pâques, des Andes, des volcans. J’avais envie de déambuler dans les rues de Valparaiso, de photographier les pics de Torres del Paine, de ressentir la fureur des vents du Cap Horn comme tant de marins avant moi.
Quand on rêve du Chili on fantasme un peu aussi sur l’Argentine avec sa Patagonie, la Terre de Feu et Ushuaia.
Néanmoins le Chili ne se laisse pas apprivoiser aussi aisément, j’ai vite compris qu’il allait falloir procéder par élimination pour un voyage d’une durée classique de 3 semaines ! Difficile de choisir…
Grâce au numérique on ne se restreint pas sur le nombre de photos au cours d’un tel voyage…
D’autant que la fameuse « meilleure période » pour un voyage au Chili n’est pas la même du Nord au Sud. Il me fallait donc choisir entre la pluie et les vents forts sur l’île de Pâques pour du beau temps du côté d’Ushuaia, ou l’inverse.
Je me suis fait une raison : il fallait scinder cette découverte du Chili en deux phases. Cette année je suis donc partie pour 2 belles semaines au Chili à la mi-octobre, en privilégiant le Nord de ce pays qui s’étend le long de 6 000km de côte ouverte sur l’océan Pacifique.
Je repartirai une autre fois vers le Sud, en mêlant Chili et Argentine pour une autre découverte ciblée, en janvier (meilleure saison pour se rendre au Cap Horn). En prenant le temps.
Vous êtes sur un blog de voyages, avec priorité à la photo : n’oubliez pas de cliquer sur chacune des photos ci-dessous pour l’afficher en grand format sur votre écran. C’est aussi la raison pour laquelle ce blog est conçu pour un affichage de préférence sur ordinateur ou sur tablette. Profitez !
J’ai dessiné la carte de ce voyage selon trois axes :
– en tête de liste de mes envies l’île de Pâques était un incontournable, je voulais admirer ces moais sous le soleil et comprendre l’histoire de cette civilisation en prenant le temps de parcourir l’île mystérieuse.
– au départ de l’Europe, le vol direct le plus long affrété par Air France (avant la guerre en Ukraine qui impose aux compagnies aériennes des contournements infernaux) impose d’atterrir à Santiago et nulle part ailleurs après 13h30 de vol (à l’aller, près de 15h au retour). Si la capitale chilienne ne présente pas un intérêt fondamental elle offre la possibilité de se rendre en voiture jusqu’à Valparaiso (1h20 pour 120km), en faisant une halte dans l’un des nombreux vignobles chiliens.
– et puis je suis tombée amoureuse des Andes pendant mon voyage au Pérou en mai 2022. Je tenais à en voir davantage, et j’étais attirée depuis dix ans par le désert le plus aride au monde (hors zones polaires). Atacama est l’une des régions les plus inhospitalières sur notre vaste planète, située à une altitude oscillant entre 2400m pour son point le plus bas jusqu’à 4000m avant d’accéder à l’altiplano andin qui m’a menée jusqu’à 4 830m (au-dessus du Mont-Blanc qui en 2023 mesure 4 805m). Je voulais connaître ce désert peu fréquenté par les Européens, admirer les sommets des Andes, les volcans assoupis ou non, les lagunes d’altitude, les flamants roses,…
La meilleure saison pour découvrir le Nord du Chili ?
Partir le 24 octobre en voyage au Chili était-ce une bonne idée ? Oui, définitivement. J’ai profité d’un temps superbe pendant tout mon voyage, île de Pâques inclus. Quelques nuages le premier jour à Santiago, et un ciel gris en arrivant vers 13h sur l’île de Pâques. Mais tout cela s’est éclairci en moins de deux heures, mes photos en attestent.
Mon guide sur place m’a certifié qu’il vaut mieux éviter février et mars sur l’île de Pâques : trop de pluie, trop de vents. Il est arrivé que le vol entre Santiago et Rapa Nui fasse demi-tour vers Santiago si la force du vent rend l’atterrissage dangereux.
Mon guide à Atacama a recommandé de découvrir le désert à deux reprises : en octobre / novembre lorsque le ciel est limpide, qu’il ne fait pas trop froid (en soirée ou en altitude), pour des photos splendides. Et après les toutes premières neiges sur les sommets, vers juin ou juillet… quand la neige tombe ! Ce qui ne se produit pas tous les ans. Juin et juillet sont les mois les plus pluvieux, sachant que ces pluies sont malgré tout peu fréquentes même si elles peuvent être intenses. Elles remplissent alors les lagunes, pour le bonheur des oiseaux et des ornithologues amateurs ; par contre ces pluies peuvent aussi fermer des routes ou des pistes.
De retour depuis une dizaine de jours je ne sais par quoi commencer pour raconter ce voyage au Chili. Il me faudra encore quelques semaines pour décanter mes impressions, pour faire le tri entre l’anecdote et l’information, pour mettre en mots tant de ressentis sur place.
Le lever de soleil sur les moais de l’île de Pâques, le coucher de soleil sur les Salt Range Mountains dans le désert d’Atacama, la fabuleuse Vallée de la Lune, le street-art dans les ruelles de Valparaiso,…
Photographier le Chili c’est photographier la culture, l’histoire, la faune, mais aussi les textures, les lumières, les volumes. Une destination idéale pour les photographes, tant de paysages s’offrent à vous…
J’ai rapporté 5 164 photos :
– 2 094 faites avec mon Canon G3X (qui date un peu mais son zoom reste excellent et c’est la raison première pour laquelle je continue à l’emmener dans tous mes voyages au long cours) ;
– 3 071 photos faites avec mon iPhone 13 Pro Max (j’aime son rendu des couleurs, sa netteté, et son grand angle). Je viens de passer à la version 15 Pro Max, l’avenir me dira s’il est aussi performant que le 13 Pro Max.
Grâce au numérique on ne se restreint pas sur le nombre de photos au cours d’un tel voyage. Et quelle lumière ! En altitude la lumière est si pure que vous n’avez besoin d’aucun filtre polarisant pour saturer le bleu du ciel, je vous le garantis. Et nul besoin de retouches au retour… J’ai vécu la même chose pendant mon séjour au Groënland, sous des lumières pures, sans pollution aucune.
Bien sûr il y a pas mal de doublons (je n’oublie jamais que je pourrais perdre en cours de route l’un ou l’autre de ces appareils, et j’utilise aussi l’iPhone pour partager en direct de mon voyage sur les réseaux sociaux et pour prendre des photos « Post-It » qui fixent mes souvenirs sur des détails afin d’enrichir mes récits plus tard).
Malgré tout aujourd’hui j’ai un mal fou à faire une sélection pour concevoir un livre de photos dédié à ce voyage au Chili. Et pour vous montrer l’essentiel.
Cet article aujourd’hui n’est donc qu’une introduction à mon voyage au Chili, une ébauche qui me permet de bâtir un plan pour ce récit, de noter quelques idées d’articles sur mon logiciel d’écriture, pour donner une épine dorsale aux articles à venir.
Je vous recommande de vous abonner à ce blog grâce au formulaire ci-dessus, en quelques clics, afin de ne pas passer à côté des prochains articles dédiés au Chili (mais aussi à l’Islande, à l’Inde dont je n’ai encore jamais parlé, au Bhoutan sur lequel j’ai encore beaucoup à raconter, etc…). Je devrais aussi raconter mes quelques jours à Saint-Petersburg en Russie, pourtant même si j’ai très rarement évoqué des sujets politiques sur ce blog l’actualité ne m’incite guère à faire la promotion de ce pays en ce moment. Qu’en pensez-vous ?
Je sais que nombre d’entre vous ont découvert le Sud du Chili, n’hésitez pas à me laisser vos recommandations dans la partie Commentaires ci-dessous. Elles me permettront d’enrichir mon repérage pour mon prochain voyage au Chili !
À très bientôt…
Envie d’en apprendre davantage sur mon voyage au Chili ? Voici quelques pistes à explorer :
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
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