Dive Photo Light / Plongimage : photo et photo sous-marine
by Marie-Ange Ostré
3 janvier 2007
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Je reçois des emails pour me demander « quel matériel photo utilisez-vous pour toutes vos prises de vue ?« . Habituellement je réponds à chacun d’entre vous, mais finalement peut-être êtes-vous plus nombreux à vous interroger sans avoir le temps de demander ?
J’ai commencé comme beaucoup de monde sous l’ère argentique, avec un Canon AE1 Program… et quelques objectifs très convaincants. Puis en 2000, mon père a acheté l’un des premiers numériques Olympus, et je me suis amusée à jouer avec. A l’époque les photos n’excédaient pas une dimension de 640 x 480 (à peine une carte postale !) pour un appareil qui n’atteignait pas le million de pixels !… Les photos des Maldives ont été réalisées avec cet appareil.
Un an plus tard j’achetais l’un des Camedia Olympus, avec une définition de 2 millions de pixels, la pointe de la technologie ! J’en ai usé, et abusé (photos île Maurice, Réunion, Seychelles, Cap-Vert).
Puis Olympus nous a confié le Camedia 5060Z, avec son caisson. Je vous passe les difficultés que nous avons eu avec le caisson (il est vrai qu’en conditions de tournage, il vaut mieux ne pas avoir à trop batailler avec des ergots très fragiles, en plexiglas). Une belle définition, et du 5 millions de pixels. Mais retour en service après-vente 3 fois en 2 ans (on nous a dit que c’était exceptionnel). Le petit plus : les courtes séquences vidéo que j’enregistrai en plus des photos (voir les photos sur l’Indonésie, celles prises à Andros aux Bahamas, Martinique, Italie, Bali, Guyane).
Mais soudain, un inconnu vous offre un Canon !…
Non, en fait ce n’est pas comme dans la pub. L’un de nos contacts, et ami, nous oriente vers un prestataire qui fait sa place sur le marché et qui, malgré notre état d’urgence quasi permanent, sait répondre à la seconde à nos questions ! Nous voici en relations avec Dive Photo Light/Plongimage, implanté dans la région de Bordeaux, mais capable de nous livrer en moins de 48 heures chrono ! Du service garanti puisque le Canon D5, 13 millions de pixels, est arrivé au moment où nous montions dans le taxi pour nous envoler vers l’Indonésie !
Avec Hubert et Christel Lacour, c’est le bonheur : enfin un fournisseur qui comprend nos impératifs, qui sait nous conseiller avec justesse et cohérence sur le meilleur objectif ou le meilleur flash, qui réagit au bon moment et se montre souple avec nos contraintes ! Ce n’est plus un prestataire, c’est un partenaire !
Bref, après l’Indonésie, ils nous ont confié un Canon 400D (10 millions de pixels) que j’utilise en binôme avec l’Homme pour faire les photos grand angle (un zoom Canon Ultrasonic 10-22 mm) et un Canon Ultrasonic 60 mm. D’ailleurs, les portraits faits avec le 60 mm sont assez réussis ! L’Homme, lui, a retrouvé goût à la photo en manipulant le fabuleux Canon D5 et son 20 mm ou son 70-210 mm. Et alors que nous avons encore dans les placards des valises pleines de boîtiers et d’objectifs argentiques, il a enfin adopté le numérique et nous allons pouvoir sans doute réduire notre espace de stockage à terme puisque les disques durs sont tout de même moins encombrants que les boîtes d’archives bourrées de milliers de diapos accumulées au fil des années et au gré des reportages qu’il effectuait pour Sygma…
Nous sommes très satisfaits de ces deux appareils qui ont une définition parfaite et dont les objectifs se complètent bien sur le terrain. Le D5 dans son caisson métallique offre une bonne ergonomie et l’Homme s’est rapidement habitué aux commandes faciles à manipuler par des mains gantées sous l’eau. Le 400D est moins lourd, plus maniable à mon goût et permet aux amateurs éclairés de faire de la photo de grande qualité. Et il paraît que son caisson sous-marin sort ces jours-ci dans le commerce ! D’ailleurs, personne ne s’y trompe puisque, par le plus grand des hasards, sur le tournage de l’épisode Afrique nous avions formé ce que j’ai appelé « le gang des 400D » : sans nous consulter, nous avions 3 appareils 400D sur site, notre réalisateur de grand talent, notre assistant lumière et moi-même !… 🙂
Parce que je dois d’abord livrer mes textes et photos pour constituer le site web de la nouvelle émission, je ne peux pour l’instant pas encore vous montrer ici toutes les photos que je voudrais, mais… encore quelques jours de patience et vous verrez le résultat du Canon 400D !
Alors, si comme nous vous voulez être conseillé(e) ou vous offrir la qualité, appelez Dive Photo Light/Plongimage de notre part.
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
Je reçois des emails pour me demander « quel matériel photo utilisez-vous pour toutes vos prises de vue ?« . Habituellement je réponds à chacun d’entre vous, mais finalement peut-être êtes-vous plus nombreux à vous interroger sans avoir le temps de demander ?
J’ai commencé comme beaucoup de monde sous l’ère argentique, avec un Canon AE1 Program… et quelques objectifs très convaincants. Puis en 2000, mon père a acheté l’un des premiers numériques Olympus, et je me suis amusée à jouer avec. A l’époque les photos n’excédaient pas une dimension de 640 x 480 (à peine une carte postale !) pour un appareil qui n’atteignait pas le million de pixels !… Les photos des Maldives ont été réalisées avec cet appareil.
Un an plus tard j’achetais l’un des Camedia Olympus, avec une définition de 2 millions de pixels, la pointe de la technologie ! J’en ai usé, et abusé (photos île Maurice, Réunion, Seychelles, Cap-Vert).
Puis Olympus nous a confié le Camedia 5060Z, avec son caisson. Je vous passe les difficultés que nous avons eu avec le caisson (il est vrai qu’en conditions de tournage, il vaut mieux ne pas avoir à trop batailler avec des ergots très fragiles, en plexiglas). Une belle définition, et du 5 millions de pixels. Mais retour en service après-vente 3 fois en 2 ans (on nous a dit que c’était exceptionnel). Le petit plus : les courtes séquences vidéo que j’enregistrai en plus des photos (voir les photos sur l’Indonésie, celles prises à Andros aux Bahamas, Martinique, Italie, Bali, Guyane).
Mais soudain, un inconnu vous offre un Canon !…
Non, en fait ce n’est pas comme dans la pub. L’un de nos contacts, et ami, nous oriente vers un prestataire qui fait sa place sur le marché et qui, malgré notre état d’urgence quasi permanent, sait répondre à la seconde à nos questions ! Nous voici en relations avec Dive Photo Light/Plongimage, implanté dans la région de Bordeaux, mais capable de nous livrer en moins de 48 heures chrono ! Du service garanti puisque le Canon D5, 13 millions de pixels, est arrivé au moment où nous montions dans le taxi pour nous envoler vers l’Indonésie !
Avec Hubert et Christel Lacour, c’est le bonheur : enfin un fournisseur qui comprend nos impératifs, qui sait nous conseiller avec justesse et cohérence sur le meilleur objectif ou le meilleur flash, qui réagit au bon moment et se montre souple avec nos contraintes ! Ce n’est plus un prestataire, c’est un partenaire !
Bref, après l’Indonésie, ils nous ont confié un Canon 400D (10 millions de pixels) que j’utilise en binôme avec l’Homme pour faire les photos grand angle (un zoom Canon Ultrasonic 10-22 mm) et un Canon Ultrasonic 60 mm. D’ailleurs, les portraits faits avec le 60 mm sont assez réussis ! L’Homme, lui, a retrouvé goût à la photo en manipulant le fabuleux Canon D5 et son 20 mm ou son 70-210 mm. Et alors que nous avons encore dans les placards des valises pleines de boîtiers et d’objectifs argentiques, il a enfin adopté le numérique et nous allons pouvoir sans doute réduire notre espace de stockage à terme puisque les disques durs sont tout de même moins encombrants que les boîtes d’archives bourrées de milliers de diapos accumulées au fil des années et au gré des reportages qu’il effectuait pour Sygma…
Nous sommes très satisfaits de ces deux appareils qui ont une définition parfaite et dont les objectifs se complètent bien sur le terrain. Le D5 dans son caisson métallique offre une bonne ergonomie et l’Homme s’est rapidement habitué aux commandes faciles à manipuler par des mains gantées sous l’eau. Le 400D est moins lourd, plus maniable à mon goût et permet aux amateurs éclairés de faire de la photo de grande qualité. Et il paraît que son caisson sous-marin sort ces jours-ci dans le commerce ! D’ailleurs, personne ne s’y trompe puisque, par le plus grand des hasards, sur le tournage de l’épisode Afrique nous avions formé ce que j’ai appelé « le gang des 400D » : sans nous consulter, nous avions 3 appareils 400D sur site, notre réalisateur de grand talent, notre assistant lumière et moi-même !… 🙂
Parce que je dois d’abord livrer mes textes et photos pour constituer le site web de la nouvelle émission, je ne peux pour l’instant pas encore vous montrer ici toutes les photos que je voudrais, mais… encore quelques jours de patience et vous verrez le résultat du Canon 400D !
Alors, si comme nous vous voulez être conseillé(e) ou vous offrir la qualité, appelez Dive Photo Light/Plongimage de notre part.
Blogueuse voyage depuis 2004, auteure, photographe, éditrice du magazine Repérages Voyages (en ligne, gratuit). Française, j’ai exploré 82 pays au fil des ans et vécu en différents endroits de notre belle planète (La Réunion, île Maurice, Suisse, Indonésie, Espagne). Très attachée au ton « journal de bord » plutôt qu’à une liste d’infos pratiques. Mon objectif ? Partager mes expériences de voyages avec ceux qui n’ont pas la possibilité de partir aussi souvent.
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