Après avoir pris du recul et analysé les attentes des lecteurs je reprends du service sur mon blog de voyage, mais différemment et en toute sérénité…

Parcours d’un blog de voyages qui n’a cessé d’évoluer, parfois envers et contre tout !

J’ai créé en 2004 le tout premier blog francophone sur le voyage : Un Monde Ailleurs. Je voulais raconter une seule fois et au plus grand nombre mes voyages en France et sur les cinq continents, voyages que j’avais pris l’habitude de raconter par e-mail à ma famille et aux amis.

Je voulais surtout échanger directement avec les lecteurs : à la différence d’un article rédigé par un journaliste professionnel celui d’un blogueur permet cette proximité et une liberté de ton et d’illustration.

Mon blog de voyages Un Monde Ailleurs a rapidement connu un gros succès d’audience. En 2008 au moment où les blogs commençaient à se professionnaliser aux États-Unis je suis devenue l’ambassadrice itinérante des Bahamas (première blogueuse francophone à être invitée pour raconter). Et puis les voyages se sont soudain accélérés à la demande des offices de tourisme, des compagnies aériennes, des groupes hôteliers,…

J’ai publié régulièrement chaque semaine jusque fin 2014, chaque jour même pendant mes périodes itinérantes. Jusqu’à 14 départs par an.

Dix ans de blogging voyage intensif, heureuse mais exténuée.

En me réveillant un beau matin je ne savais plus dans quel hôtel je me trouvais ni sur quel continent. Il m’a fallu plus d’une minute pour réaliser que j’étais dans mon propre lit, à Paris… J’ai décidé de lever le pied.

Voyager rend tolérant, il apprend aussi à s’adapter aux autres et aux circonstances.

J’ai continué à publier en 2015, mais sur un rythme plus léger parce que je vivais à mi-temps entre l’Europe et l’Asie. Trop d’expériences à vivre au jour le jour, pas assez de temps pour me consacrer à part entière à mon blog.

Et puis en juillet 2015 n’y prêtant pas attention j’ai perdu mon nom de domaine : mon blog Un Monde Ailleurs a soudain disparu de l’Internet, évanoui dans le néant ! Tant de travail pour finalement se diluer dans l’oubli du cyber-espace ?

Il s’agissait de dix ans de ma vie, et d’une masse de témoignages ponctuels sur des destinations parfois rares.

D’autres auraient renoncé. J’ai refusé de perdre tout cela.

J’ai retroussé mes manches, j’ai acheté le nom de domaine qui correspond à nom nom, et j’ai remis en ligne la dernière sauvegarde que j’avais de mon blog. Sauvegarde qui remontait à… quatre ans auparavant !

Ce fut un énorme travail, qui n’est pas totalement achevé :

– j’ai immédiatement réintégré tous mes articles publiés entre fin 2003 et mi-2011 (ma sauvegarde la plus récente donc, j’ai vivement regretté de n’avoir pas été attentive au fait que ma sauvegarde automatique n’était plus active !).

– j’ai retrouvé sur mon ordinateur la majorité des articles qui manquaient entre 2011 et 2015 et je les ai remis en ligne l’un après l’autre en respectant les dates de publication puisque j’avais relayé ces articles sur Facebook (heureuse d’avoir conservé mes textes sous Word pour la majorité d’entre eux !).

– puis j’ai supprimé des articles qui me semblaient désormais obsolètes ou d’un intérêt mineur (des bavardages, des recommandations de lectures, des états d’âmes, des news).

– j’ai ensuite passé un temps effroyable à nettoyer tous les liens cassés, ces URL que vous cliquez et qui renvoient soit vers un autre article de votre blog soit vers un autre site web (qui n’existe plus non plus). Imaginez le nombre de liens internes sur un blog de 10 ans d’âge…

Article à nettoyer et à illustrer, sur mon blog de voyages

– puisque j’ai changé de maquette j’ai du nettoyer le code de chaque texte. Regardez sur la capture d’écran ci-dessus comment se présente un article avant nettoyage (et encore, celui-ci avait des photos auxquelles j’avais attribué un nom significatif, plus facile à retrouver dans mes archives puisque je sauvegardais systématiquement chaque image, heureusement !). Il me reste encore à nettoyer une centaine de textes de la sorte sur ce blog de voyages mais j’y travaille un peu chaque semaine.

Il faut donc supprimer les imagettes superflues que j’utilisais entre 2008 et 2012 pour localiser chaque publication (une sorte de bille illustrée du drapeau du pays en question), passer du bleu de l’ancienne maquette au doré de celle-ci, remettre des marges correctes à l’intérieur des textes, supprimer les insertions d’images sur la gauche d’un texte, etc… et bien sûr remettre chaque photo en place. Un travail de longue haleine…

Gardez en tête que mon blog a toujours été conçu pour un affichage sur écran d’ordinateur afin de profiter des photos en grand format. Or de nos jours vous lisez en majorité depuis un téléphone mobile (qui ne montre plus grand-chose) ou depuis une tablette. Les contraintes d’affichage correct sur tous types d’écrans sont donc multipliées.

Parce que c’est amusant de pouvoir comparer avant / après, j’ai retrouvé des captures d’écran de mon blog au fil des années, voici les quatre maquettes différentes sur lesquelles vous m’avez lue, dans l’ordre chronologique :

Archives, blog Un Monde Ailleurs © Marie-Ange Ostre

Ci-dessus, mon blog de voyages Un Monde Ailleurs hébergé sur la plateforme Haut & Fort entre fin 2003 et mai 2008. Plus bas, l’évolution de la maquette du blog hébergé indépendamment jusqu’en juillet 2015.

Archives, blog Un Monde Ailleurs © Marie-Ange Ostre
Archives, blog Un Monde Ailleurs © Marie-Ange Ostre
Archives, blog Un Monde Ailleurs © Marie-Ange Ostre

Deux opérations de grande envergure ont été nécessaires mais extrêmement chronophages et surtout encore pénalisantes à ce jour :

– lorsque j’ai réintégré ma dernière sauvegarde seuls les articles ont été remis en ligne. Cette sauvegarde n’intégrait ni les photos ni les commentaires des lecteurs.

Il m’a donc fallu replacer une par une chaque photo anciennement publiée sur chaque article remis en ligne. Cela signifie des milliers de photos à retrouver dans mes dossiers, à re-formater sous Lightroom pour que vous puissiez dorénavant en profiter en plein format plutôt que sous son format d’origine, avant de la re-publier au bon endroit. Cette seule opération mériterait un article à part entière de recommandations à l’attention de futurs blogueurs ! Je vous laisse comparer la différence sur une même photo, d’autant qu’aujourd’hui de surcroît les capacités de retouche d’une image sont bien supérieures à celles de 2004-2011 :

Voici une photo prise aux Bahamas (atoll de Bimini) en 2007 : ci-dessus publiée le jour-même en dimensions 350 x 233, ci-dessous le format actuel sur ce blog en dimensions 840 x 500 (et avec les retouches actuelles).

Bahamas, marina de Bimini

C’est mieux, non ? 😉

Inutile de préciser que si ce travail de remise en ligne des photos est toujours en cours pour les plus anciennes il est aussi très satisfaisant autant pour vous puisque le confort est supérieur que pour moi (qui replonge dans mes archives et redécouvre avec plaisir quelques photos oubliées depuis longtemps).

C’est aussi et surtout un travail indispensable : un blog de voyages n’est rien sans illustration !

Voici comment se présente le bas de l’un de mes articles quand je n’ai pas encore remis en place les photos sur les autres articles relatifs au même thème de cette publication :

Affichage d'articles non nettoyés sur le blog de voyages

Cependant, imaginez mes textes les plus anciens (publiés entre 2004 et mai 2008) : la plateforme Haut & Fort (mon hébergeur à l’époque) intégrait les photos en leur attribuant un nom constitué d’une série de nombres. En 2004 au tout début des blogs en France on ne se préoccupait pas de ces choses-là, on ignorait encore que les blogs allaient devenir un outil de communication à long terme.

Donc en mai 2008 lorsque j’ai migré vers un hébergement indépendant le processus d’exportation de mon blog depuis Haut & Fort n’avait pas intégré mes photos (ni les commentaires). Il m’avait alors fallu les replacer une à une sur chacun des articles. Mais pour cela je n’avais aucun indice puisque les articles m’apparaissaient ainsi, sans nom d’image autre qu’une série de chiffres :

Image sans nom, sur mon blog de voyages

Dans ce cas il ne me restait plus qu’à tenter de me souvenir de la photo publiée ce jour-là, en m’appuyant sur le titre de l’article et sa date de publication. Ou d’en placer une autre qui conviendrait aussi !

Mais ce n’est pas tout… en recherchant ces images que j’avais publié je me suis aperçue que j’ai fait l’erreur pendant quelques mois (seulement !) de publier des photos dont je n’avais pas changé le nom. Des photos mises en ligne donc sous leur nom de fichier d’origine (attribué par mon appareil photo et sa carte numérique).

Si j’avais pris soin de conserver chaque photo publiée dans un dossier par ordre chronologique d’année (jusqu’en 2008, ensuite j’ai subdivisé par mois heureusement !) imaginez mon désappointement quand il m’a fallu regarder chaque image sauvegardée sous ce nom de fichier avant de trouver celle que j’avais pu publier sur un articles précis !

Voici comment se présente mon dossier pour les photos qui n’ont pas été classées par ordre chronologique et qui de surcroît ne portent pas de nom précis autre que leur nom de fichier :

Images sans nom sur blog de voyages Un Monde Ailleurs

Vous comprenez le temps infini qu’il faut pour illustrer à nouveau ce blog avec les photos publiées jusqu’en 2015…

Néanmoins cette opération m’a aussi incitée à en publier davantage encore. En effet, souvent je publiais sur le terrain, le soir-même. Par manque de temps ou à cause de la fatigue accumulée je ne publiais qu’une ou deux photos par article. En cherchant ces photos sur mes disques durs pour les remettre en ligne j’ai pris le temps cette fois de vous en montrer d’autres.

Vous avez donc aujourd’hui à disposition les mêmes articles, avec les mêmes photos que vous avez déjà connues, et la plupart du temps avec davantage de photos. Des photos inédites !

Un petit bonus pour les lecteurs fidèles qui ont ainsi le plaisir d’en voir davantage.

Enfin, et ce n’est pas la moindre des taches, tous les efforts de référencement SEO effectués jusqu’en 2015 ont soudain disparu avec mon ancien blog. J’ai donc du tout reprendre sur ce nouveau blog, article après article, pour plaire à Google et favoriser le référencement de mes articles sur tous les moteurs de recherche.

Cela signifie :

  • modifier (parfois) un titre d’article pour qu’il soit référençable (« Il pleut, il pleut, il pleut,… mais splendide ! » n’était pas très parlant pour Google !),
  • modifier la structure de mes paragraphes pour qu’ils soient mieux digérés par Google (donc souvent les morceler, en faire trois avec celui d’origine),
  • ajouter des mots-clés là où c’est nécessaire,
  • ajouter un court texte d’introduction considéré comme une en-tête, etc…

Et encore… je ne suis pas à la lettre les règles édictées par Google, sinon ces récits de voyage deviennent imbuvables, truffés de répétitions, avec des phrases trop courtes, des paragraphes de trois lignes maximum, etc…

Je procède lentement mais sûrement : d’abord le nettoyage de l’article, puis la réinsertion des photos dans l’article, et enfin les réglages SEO pour cet article. Je n’ajoute pas les éléments de référencement tant que l’article n’est pas « propre » et illustré correctement.

Ainsi courant 2014 j’avais fêté mon 800ème article sur Un Monde Ailleurs, aujourd’hui le blog n’en affiche plus que 711, dont 147 sont encore invisibles par Google (certains sont propres et illustrés mais je n’ai pas encore réintégré les éléments SEO). J’ai donc encore du pain sur la planche avant que mes récits ne soient tous de nouveau lisibles aisément par mes lecteurs ET reconnus par Google.

Depuis 2015, en marge de cet énorme travail de remise en ligne de ce blog de voyages, j’ai aussi publié de nouveaux articles mais de façon aléatoire au gré de mes envies et surtout en fonction de mes autres activités.

Je ne me considère plus comme une blogueuse, j’ai lâché prise et j’en avais besoin.

Saisie par le découragement devant l’ampleur de la tache pour cette remise en ligne de mon blog de voyages j’ai même songé à raccrocher définitivement. D’ailleurs je l’ai annoncé en décembre 2015.

Mais finalement…

Ma motivation première a toujours été le partage : j’ai créé Un Monde Ailleurs pour partager mes récits de voyages aux quatre coins du monde et donner envie de partir. Je voulais montrer le monde tel que je le voyais, le décrire avec mes propres ressentis, l’illustrer sans saturation des photos à l’excès, sans tromper le lecteur.

J’ai pris le temps de réfléchir, et puis j’ai créé un autre blog sur une île sur laquelle je vivais à mi-temps : Lombok (ce blog n’existe plus non plus mais j’ai réintégré ici 90% des articles que j’avais publié, ainsi vous pouvez tout de même en prendre connaissance puisque l’île n’a que peu changé depuis).

Pendant quelques années j’ai hésité entre rédiger à nouveau ou renoncer pour me concentrer sur mes différentes expériences de vie.

Néanmoins, quand on a besoin d’écrire, besoin de montrer, et que l’on est son propre décideur il est difficile de lâcher définitivement ce qui vous propulse en avant à chaque décollage.

Comment ne pas partager avec vous une vue du lac Titicaca au Pérou (en tête de cet article) ou bien (ci-dessous) cette vue sur le désert du Namib en Namibie ?

Namibie, désert du Namib

Depuis 2016 j’ai continué à rédiger, sur des logiciels dédiés, sur des applications pour voyageurs, sur des brouillons restés enfouis dans les méandres du disque dur de mon ordinateur. Sans mettre en ligne.

Si j’ai raconté dernièrement mon séjour dans le Nord de la Norvège je n’ai jamais rien publié de mes voyages en Inde, en Zambie, au Pérou, à Saint-Petersburg.

Je n’ai quasiment rien raconté de mon dernier voyage en Namibie, de celui au Bhoutan, de mes séjours en Thaïlande, Dubai, Mexique, Jordanie, Italie, ni sur la Suisse, l’Autriche, Londres,…

Et très peu sur mes nouveaux séjours aux États-Unis, au Maroc, à La Réunion et aux Seychelles,…

Alors de temps en temps vient l’envie de ressortir du bois, de mettre en ligne quelques impressions, quelques images,…

Parce que malgré tout, aujourd’hui comme en 2004, chaque fois que je suis devant un superbe paysage, chaque fois que je vis une expérience enrichissante je pense à mes lecteurs, j’ai envie de partager ! J’ai notamment ressenti cela de façon très intense quand j’étais au Pérou l’année dernière, devant des paysages somptueux ou à table en testant les meilleurs ceviche du monde !

Et je repars en Islande dans les semaines à venir.

Envie de vous dire, de vous montrer, de vous inciter à partir à votre tour.

Pourtant depuis la fin du Covid les grands media affirment que le monde a changé. Ils poussent les voyagistes à se réinventer, les hôteliers à créer de nouveaux séjours. On parle d’expériences, de « nouvelles expériences »…

Pourtant n’avez-vous jamais fait de randonnée en France ou ailleurs dans le monde avant le Covid ? N’avez-vous jamais fait de kayak ou de VTT ? N’avez-vous jamais succombé à l’envie d’un spa sur un autre continent ? N’êtes-vous jamais allé à la rencontre des locaux au cours de vos voyages ?…

Je pense plutôt que notre regard sur notre mode de vie, sur notre façon d’envisager notre parcours, notre regard sur l’impact de nos actes a évolué. Le monde lui change doucement, comme il le fait depuis la nuit des temps.

Je lis parfois sur Facebook ou sur Instagram des diatribes acerbes contre ceux qui prennent l’avion.

Alors, faut-il renoncer à voyager ? Certes non.

Le voyage ouvre des perspectives et modifie notre vision du monde. Il permet aussi de se re-positionner soi-même dans un contexte mondial, dans un environnement parfois moins favorisé.

Voyager rend tolérant, on apprend à s’adapter aux autres et aux circonstances.

Voyager enrichit celui qui part, mais aussi celui qui accueille.

J’ai donc envie de publier à nouveau, mais de quelle façon ?

Et puis lit-on encore des blogs de nos jours ?…

Qui prend le temps de lire vraiment, au-delà des quatre premières lignes qui apparaissent sur Twitter ou Facebook ? Les réactions des commentateurs laissent souvent entendre qu’ils n’ont même pas cliqué sur le lien pour en lire davantage.

Par ailleurs les auteurs et artistes se plaignent des algorithmes de Facebook et Instagram qui n’affichent plus les publications systématiquement sur le mur ou sur le compte des abonnés (qui se voient par contre noyés sous les articles sponsorisés).

Alors, dois-je vraiment publier des articles qui ne seront pas lus ?

Et puis je vous avoue que rédiger des articles qui ne sont plus que des listes de conseils du genre « 10 sites à ne pas manquer en Chine », ou « les 15 plats à découvrir en Inde » ne m’enchante pas. Combien d’entre nous se sont lassés de lire ne serait-ce que le titre de ces listes sur la première page de Google après avoir saisi des requêtes telles que « voyage Vietnam », ou « visiter Chili » ?

Personnellement quand je me renseigne sur une destination j’ai envie de lire du témoignage, du vécu qui m’incitera (ou non) à partir découvrir ce pays à mon tour. Suis-je la seule à réagir ainsi ?

Mes articles rédigés entre 2016 et 2022 ont été peu lus, parce que j’étais volontairement absente sur des réseaux sociaux devenus vindicatifs ou agressifs. J’ai publié, en toute discrétion, pour le plaisir de quelques-uns. Et cette satisfaction m’a suffit.

Aujourd’hui je publie pour satisfaire mon besoin de partager, et si je partage avec une toute petite partie de mes anciens lecteurs je suis heureuse.

J’échange encore sur Facebook ou sur Instagram avec des personnes qui me suivent depuis 2004 ou les années suivantes. Des personnes qui ont vu aussi leur chemin de vie évoluer, qui ont progressivement voyagé différemment. Parcours similaires ou presque. Dois-je me soumettre à ce point aux algorithmes capricieux de Google pour quelques lecteurs de plus au risque de perdre ma spontanéité de ton pour insérer davantage de mots-clés ? Je n’en ai ni le besoin ni surtout l’envie.

Qui m’aime me suive !

Mais pour cela il vaudrait mieux que vous vous abonniez à mon blog en inscrivant votre nom dans le petit encadré dédié sur cette page à droite (ou bien juste ci-dessous). Vous recevrez alors un e-mail chaque fois que je publierai un nouvel article (il va sans dire que vos informations ne seront ni vendues ni partagées).

Autant vous le dire aussi : si vous souhaitez échanger avec moi il est préférable de laisser un commentaire sous un article sur ce blog plutôt que de m’écrire sur Facebook ou sur Instagram : je ne vais que trop rarement sur ces réseaux sociaux.

Et puis je vais revenir à mes origines, je vais rédiger plus léger, plus spontané. Terminé ce long travail d’écriture de ces dernières années qui gommait l’élan et l’enthousiasme au profit d’un sérieux assumé. Je vais privilégier la publication de quelques photos à la volée, accompagnées de ressentis immédiats.

Je reviens au ton journal de bord, plus intimiste, moins désincarné.

D’ailleurs c’est aujourd’hui sans doute le dernier article de cette longueur que vous lirez signé de ma main (enfin je le crois…). 😉

Si vous avez des questions plus précises sur où, quand, comment, pourquoi, n’hésitez pas à vous exprimer dans la partie des commentaires sous chaque récit. J’y répondrai bien volontiers.

Je viens de rédiger quelques nouveaux articles au sujet de quelques pays que vous connaissez peut-être déjà. Je vous laisse découvrir cela dans les jours à venir et j’espère que vous m’encouragerez à poursuivre en laissant une trace de votre passage sous la forme de quelques mots ci-dessous.

Merci à tous pour votre fidélité au fil des ans !

Envie d’en apprendre davantage sur mon parcours de blogueuse ? Voici quelques pistes à explorer :

  • Mes articles au fil des ans sur mes activités
  • Mes photos sur tous les pays : 500px.com, Getty Images, et Picfair si vous souhaitez en voir bien davantage (et éventuellement acheter ces photos)

Rédiger et illustrer un site web ou un blog représente des heures, des années de travail. Prélever sur Internet sans autorisation préalable des photos ou des textes (tout ou partie) est une violation des droits d’auteur. Des outils permettent de dénicher facilement les « emprunteurs » et de les poursuivre (dans le pire des cas), ce sont d’ailleurs souvent les lecteurs qui nous alertent. Si vous souhaitez utiliser un extrait d’article ou une photo n’hésitez pas à demander depuis la page Contact sur ce site. Merci pour votre compréhension.

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